L'arrivée de Horaçio à Luudion

***Après avoir vidée la gourde d'eau que Alice venait de lui donner, Horaçio sembla reprendre ses sens et il écarquilla les yeux en regardant mieux la petite foule rassemblée autour de lui. Le colosse de 100 kilos d'os et de muscles répartis sur une armature de 2 mètres de haut ne semblait pas tout à fait réaliser ce qui se passait autour de lui. Après avoir bu une seconde gourde, il reprit entièrement ses esprit et il parla lentement de sa voix grave et profonde.***

''Ok, c'est ici Luudion, la communauté dont Sylvia m'a parlé. Et vous, vous êtes des Luudionais ça veut dire... Ouais vous m'avez l'air d'une bonne bande.''

''J'ai déjà parlé avec Léäna par radio, elle veut que j'aide à la défense de la communauté avec l'équipe de Tortue.''

''Moi je veux bien. Je savais même pas que ça existait des endroits sympas comme ici. On m'avait dit que je devrais passer ma vie à voler, tuer et piller. J'aime beaucoup mieux la perspective de défendre Luudion et de me faire quelques amis.''

Lëana, s'approcha intimidé du géant.
Elle du levé haut la tête pour croiser son regard. Cet homme semblait avoir été marqué par une existence difficile, mais si le repentir pouvait lui apporter la sérénité, pourquoi pas.
Après tout, c'était aussi ca Luudion, une seconde chance.

Sa main droite se remit à convulser, les crises étaient de plus en plus régulière ces derniers temps.
Elle s'adressa alors au colosse

Tu as eu la chance de rencontrer un havre de civilisation, et je suis heureuse que ce soit ce à quoi tu aspires.
Je remercie Sylvia de t'avoir orienter vers nous.
Je vais t'indiquer où ce situera ta couche dans la ville, en ce moment le temps n'est pas clément et il vaut mieux passer la nuit à l'abri.


Ls Luudoniens auxquels tu fais désormais partie peuvent être heureux d'avoir quelqu'un comme toi à leur côté, nos murs seront mieux défendu désormais.
En échange, nous t'offrons la paix, les soins dont tu as besoin, et... l'espoir de créer une nouvelle civilisation!

Soit le Bienvenu Horaçio.

Bienvenue à toi l'ami, et au plaisir de retourner se promener avec toi un de ces jours !